Félix G. Modrono. Entretien avec l'auteur de Sol de Brujas

Photographie : Félix G. Modroño, profil Twitter.

Félix G. Modrono, biscaïen vivant à Santander, a déjà huit romansest publié et présente maintenant soleil de sorcière Dans ce interview nous parle d'elle et d'autres histoires. Je vous remercie beaucoup pour votre temps et votre courtoisie pour m'aider.

Félix G. Modrono. Entrevue

  • ACTUALIDAD LITERATURA: Votre dernier roman est soleil de sorcière. Que nous en dites-vous et d'où est venue l'idée ?

FÉLIX MODROÑO : J'ai connu des cas de première main de harcèlement scolaire via les réseaux, surtout. Et j'ai décidé d'écrire ce roman comme plainte. Je dois remercier les professionnels du domaine de l'éducation et la police de Cantabrie qui m'ont aidé à concevoir ce complot. 

  • AL : Vous souvenez-vous de vos premières lectures ? Et la première histoire que vous avez écrite ?

FM : J'ai commencé comme tout le monde à l'époque. Les bandes dessinées, les aventures de Capitaine Tonnerre… Puis vinrent les romans de Verne y Salgari sous forme de bande dessinée. Les premiers livres sans dessins dont je me souvienne sont ceux de Les Hollisters

Quant à l'écriture, je suppose que essais à l'école. Je me souviens que j'ai participé au concours Coca-Cola mais que je n'ai pas dépassé la phase provinciale et que le championnat d'Espagne a été remporté par un camarade de classe de mon école. Le prix était un voyage au Chili, ce qui à l'époque était comme aller sur Mars. Et je ne nie pas ma déception.

  • AL : Un scénariste en chef ? Vous pouvez en choisir plusieurs et de toutes les époques.

FM: Gabriel García Márquez, sans doute. Son élégance à l'écriture continue d'être un modèle à suivre.

  • AL: Quel personnage dans un livre aurais-tu aimé rencontrer et créer?

FM : J'aurais aimé créer Guillaume de Baskerville o Sherlock Holmes. C'est pourquoi mon docteur Zúñiga a quelque chose des deux. Et quant à savoir Sigrid, qui a été mon premier amour. Bien sûr, elle n'aurait rien pu faire parce qu'elle aimait Captain Thunder.

  • AL: Y a-t-il des habitudes ou des habitudes particulières en matière d'écriture ou de lecture?

FM : Le noisettes et la Coca Cola. Ils ne sont pas seulement mon énergie mais ma ressource pour les pauses. Quand je finis un roman, ma balance me trahit.

  • AL: Et votre lieu et heure préférés pour le faire?

FM : J'écris n'importe où, mais j'ai besoin silence. Quand je suis dans la période créative, je n'ai pas d'horaires. Je mange quand j'ai faim et je dors quand j'ai sommeil. Le reste de la journée est consacré à l'écriture.

  • AL: Y a-t-il d'autres genres que vous aimez?

FM : Oui, bien sûr. En fait, jusqu'à présent, il mélangeait les genres : noir, voyage, historique, romantique...

  • AL: Que lisez-vous maintenant? Et l'écriture?

FM : J'aime me tenir au courant de l'actualité éditoriale et j'essaie de lire deux ou trois romans une semaine, quand je ne suis pas en période d'écriture. En ce moment j'ai sur la table de chevet on commence par la fin, de Chris Whitaker, sur la recommandation de Dolores Redondo.

Ya j'ai commencé par le troisième les trois romans que je considérais comme la trilogie Bilbao du XXe siècle. Après avoir écrit sur la Belle Époque dans La ville aux yeux gris et de la guerre civile et de la période d'après-guerre en La ville de l'âme endormie, je vais vers une histoire qui ira jusqu'aux dernières décennies du siècle.

  • AL : Comment pensez-vous que la scène de l'édition est et qu'est-ce qui vous a décidé à essayer de publier ?

FM : J'ai eu la chance que mon premier roman soit publié par le premier éditeur chez qui je suis allé. Ensuite, je dois dire que la route n'a pas été compliquée pour moi. Ça oui, Je travaille dur depuis plus de quinze ans. La scène éditoriale est claire : elle est publiée en excès et quand il y a tant d'offre, tout n'est pas bon. Pour les libraires, il est très difficile de choisir entre l'avalanche de nouveautés qui arrivent quotidiennement.

  • AL : Le moment de crise que nous vivons est-il difficile pour vous ou saurez-vous garder quelque chose de positif pour les histoires à venir ?

FM : Ces temps ne m'intéressent pas. Oui Je fuis toute lecture qui sent la pandémie. Évidemment, cette crise nous marque tous et fera partie de notre bagage émotionnel, pour le meilleur et pour le pire. 


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