LXVI Remise des prix Planeta. Et le gagnant est… Javier Sierra

Le finaliste travaille pour le prix Planeta

Nous n'avons pas fait de mendicité et dans le même titre nous vous avons déjà présenté le lauréat de ce dernier épisode des Planeta Awards, Javier Sierra. Même ainsi, nous allons faire un petit bilan de la soirée du 15 octobre.

Ce week-end, la remise des prix Planeta par LXVI a eu lieu à Barcelone. Cette soixante-sixième édition a battu le record par rapport aux années précédentes, avec un total de 634 œuvres présentées dont seulement 10 seraient finalistes.

Comme chaque 15 octobre, le Palau de Congresos de Barcelona, ​​porte ses plus beaux habits pour donner place à ce concours annuell. Écrivains, journalistes, rédacteurs en chef, politiciens et célébrités se réunissent pour découvrir qui des dix finalistes remportera le prix et la reconnaissance de la soirée.

Parmi eux, nous avons pu souligner la présence d'hommes politiques tels que Xavier Albiol (président du PP de Catalogne) ou Miquel Iceta (secrétaire du PSC). Nous avons également la présence de Santi Vila (ministre catalan de la Culture) ou Ana Pastor (présidente du Congrès des députés) entre autres.

Les autres invités qui n'ont pas manqué le gala étaient le journaliste Julia Otero, également journaliste et écrivain Máxim Huertas et bien sûr la lauréate de l'année dernière Dolores Redondo. Risto Mejide et Laura Escanes, Boris Izaguirre, Alberto Chicote ou Luis Piedrahita n'ont pas non plus manqué l'événement. Malgré cela, le manque de présence de certains autres invités a été noté en raison de la situation politique actuelle.

Le gala était présenté par le journaliste et présentatrice de l'émission d'information Antena 3 Ester Vaquero, qui a animé la soirée en annonçant les votes que les finalistes ont reçus lors du dîner. Grâce aux partitions reçues par les œuvres, les invités ont fait une piscine. Les lauréats recevront un lot de divers ouvrages publiés par Planeta.

Le jury composé de Albert Blecua, Fernando Delgado, Juan Eslava Galán, Pere Gimferrer, Carmen Posadas, Rosa Regàs et Emili Rosales En tant que secrétaire votant, il n'a pas du tout eu la tâche facile de se débarrasser des œuvres et de finalement choisir le gagnant de cette année.

Le prix du gagnant était doté de 601.000 euros et 150.250 euros pour le finaliste. A cette occasion, la décision du jury pourrait être suivie en direct sur le web www.premioplaneta.es à partir de 23.30hXNUMX.

Ce furent des moments de grande anticipation jusqu'à ce que le vainqueur et le finaliste soient enfin annoncés. Et voici, comme nous l'avons déjà commenté, le résultat:

  • Travail gagnant: Le feu invisible, de Javier Sierra (sous le pseudonyme de «La montagne artificielle», Victoria Goodman)
  • finaliste: Brouillard à Tangerpar Cristina López Barrio
Javier Sierra

Javier Sierra. photo: EFE / Andreu Dalmau.

A cette occasion, l'œuvre de Sierra nous présente cette fois un professeur de philologie du Trinity College (Dublin) d'origine espagnole. En voyageant à Madrid, il se retrouvera impliqué dans une intrigue compliquée d'un groupe d'étude à la recherche du Saint Graal. Mais l'histoire deviendra plus compliquée au moment où un membre du groupe.

Mais cette année, on ne parle pas seulement de littérature. Ce fut une édition très marquée par la politique. Le 14 octobre, une conférence de presse composée de managers et d'une partie du jury s'est tenue au Campus moderniste de Sant Pau. Comme on pouvait le prévoir, la conférence de presse a été très marquée par les derniers événements politiques et sa décision de déplacer son siège à Madrid.

Josep Creuheras, président de l'entreprise, a précisé que la décision de changer de lieu était inébranlable. Cependant, je vous assure que l'éditeur a l'intention de continuer à organiser les concours à Barceloneà. Par rapport au conflit actuel, Creuheras a fait appel au dialogue.

photographie La Vanguardia

 Enfin, on se souvient des dix finalistes des Planeta Awards:

-L'astronome, Heinrich Von Kügel (pseudonyme)

-C'est parce que j'ai faim Maria Eugenia Mayobre Jahn

-La nouvelle vie de Penelope, Bella Linardi (pseudonyme)

-Partie, Antolin Sánchez Lancho

-Femmes brisées, Voli ces povi (pseudonyme)

-L'île des muses, Ricardo Pedreira Ulloa

-L'enfer sous la peauJésus Miguel Martínez

-La montagne artificielle, Victoria Goodman (pseudonyme)

-Dans l'ombre d'un mensonge, M. Palma Médina

-Un affreux charmant, Eva Florence Benavidez


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