Pablo Nuñez: "Que personne ne cesse d'essayer de publier"

Photographie: Pablo Nuñez. Profil Facebook.

Pablo Nunez, l'écrivain Lugo de Roman historique, auteur de titres comme Les filles de César, voleuses d'histoire o Jeu de Queensaccorde-moi ça interview où il nous raconte un peu ses livres, ses influences, ses projets et le panorama éditorial et social dans lequel nous vivons. Je vous remercie beaucoup le temps passé et votre gentillesse.

Pablo Nuñez - Entretien

  • ACTUALIDAD LITERATURA: Vous souvenez-vous du premier livre que vous avez lu ? Et la première histoire que vous avez écrite ?

PABLO NUÑEZ: Oui, car je le garde toujours comme un trésor: Le corsaire noirpar Emilio Salgari. Parmi ceux que mes parents avaient à la maison, il a déjà attiré mon attention dès mon plus jeune âge, avant même que je sache lire.

La première chose que j'ai écrite a été poèmes en galicien, et je continue à le faire parce que J'aime la poésie. Mais la première histoire ... Cela vous surprendra, mais la vérité est que c'était Les filles de César, mon premier roman, et il avait presque trente ans.

  • AL: Quel a été le premier livre qui vous a frappé et pourquoi?

PN: Guerre et paix, du Tolstoï, parce que cela m'inscrivait dans une ligne de lecture différente de celle que j'avais jusque-là. J'étais passionné (continue de le faire) par le roman d'aventures. Avec Guerre et paix J'ai trouvé un deuxième amour littéraire, celui qui se situe dans ces événements et ces lieux qui à leur tour ont écrit l'Histoire.

De plus, par son extension, J'aimais analyser pour la première fois le parcelles, les changements de étapele caractères et comment l'auteur a construit les dialogues ... En bref, ce qu'il y a dans un livreà part le merveilleux plaisir de le lire.

  • AL: Quel est votre écrivain préféré? Vous pouvez en choisir plusieurs et parmi toutes les époques.

PN: En raison de mon origine - je suis de Lugo - je lis beaucoup en galicien. Rosalía, Castelao, Manuel Maria, que j'ai eu le plaisir de rencontrer. Ou Emilia Brown Bazan, qui me semble un écrivain extraordinaire.

Aussi Verne, Salgari, Dumas, Twain... Et MLe plus proche: Tom Clancy, bernard cornwell, Umberto Eco, et deux Espagnols auxquels une grande amitié m'unit: Manel Loureiro et Juan Gómez-Jurado. Les rencontrer tous les deux a été l'un des plus beaux cadeaux que la vie m'ait offert.

Comme vous pouvez le voir, il m'est impossible de m'en tenir à un seul écrivain. Et je ne suis pas à la hauteur.

  • AL: Quel personnage dans un livre aurais-tu aimé rencontrer et créer?

PN: Deux. La dame Arwen de Le Seigneur des Anneaux, parce que Tolkien a caché de nombreuses clés en elle, bien qu'elle la "cache" comme personnage secondaire. Des trucs de génie.

Y Jack Ryanpar Clancy. Ryan a été entre mes mains dans les romans de son créateur, sur les écrans de cinéma et de télévision. Maintenant aussi dans une série.

  • AL: Avez-vous des passe-temps en matière d'écriture ou de lecture?

PN: j'aime être dans les parages un objet lié à ce que j'écris, une épée, une pièce de monnaie, des cartes ou des photographies des décors à travers lesquels les personnages que je crée vont vivre des aventures.

  • AL: Et votre lieu et heure préférés pour le faire?

PN: pour Écrire, à maison. Je l'ai essayé dans d'autres endroits et je sais qu'il y a des gens qui peuvent l'obtenir presque partout. Je n'ai pas pu le faire.

Leo mucho dans mon village, mon refuge, au bord de la rivière Miño, et j'aime lire à la plage. J'ai eu un temps, coïncidant avec mes études et pour profiter du temps jusqu'à ce que je suis entré pour m'entraîner, dans lequel j'ai sorti un livre de mon sac à dos et j'ai lu pendant un moment sur le mur. La vérité est que ça me manque… Vous m'avez donné une idée.

  • AL: D'où vient cette passion pour les Romains et les Celtes dans vos romans?

PN: Je viens de Lugo (et je ne le nie pas, comme on dit ici). Le cœur de ma ville est embrassé depuis 2.000 ans par un mur romain unique au monde et site du patrimoine mondial. Il y a d'innombrables découvertes archéologiques trouvées, celles qui seront encore trouvées et les secrets et mystères qui les entourent.

Mais parfois on oublie ça avant venir Rome, avait déjà civilisations et culture avant que les légions appliquent leur loi. La Galice en est un bon exemple. Nous sommes entourés de castros, des découvertes de cette époque antérieure, et qui a vécu avec la grande louve romaine.

J'ai toujours été attiré par la recherche d'informations, puis écrire sur la relation qu'entretenaient les deux cultures. Là j'ai trouvé la graine pour Les filles de César.

La relations entre Galice et d'autres régions d'Europe occidentale telles que Irlande, Angleterre, Écosse, Pays de Galles o Bretagne es très intéressant et de nombreux liens nous unissent, notre propre histoire, culture, musique ... Et beaucoup de nombreuses légendes. De là Jeu de Queens, qui est uniquement «celtique».

Aussi à Lugo nous célébrons, pour jouer hommage et unir les peuples qui ont construit notre berceau et nos origines, une fête, Lucus brûle (recherche sur internet ou sur les réseaux sociaux), qui a attiré plus d'un demi-million de personnes dans certaines éditions.

Avec des gens du monde entier, de nombreux coins d'Espagne, d'Irlande, de France ou d'Italie ... Presque tous les pays d'Europe avec une large représentation du Portugal, mais chaque année nous sommes surpris par les visiteurs de Amérique latine, Honduras, Mexique, Argentine, Taïwanais ou même Australiens. Ou à partir de Chine, parce que notre muraille est jumelée avec sa Grande Muraille et Lugo avec la ville de Quinhuangdao. La pandémie nous a arrêtés, mais nous serons de retour.

Avec tout ce que je vous dis et ce qu'il me reste dans le pipeline, vous comprenez sûrement mieux cette passion.

  • AL: Vos genres préférés en plus de l'historique?

PN: Le thriller. Et là, nous avons en Juan un vrai génie. La chose étrange est qu'il n'est pas américain, non?

  • AL: Que lisez-vous maintenant? Et l'écriture?

PN: Je viens de terminer La puerta, de Loureiro, un novelón. Je suis avec Le jardin de la sorcière, par Clara Tahoces, et Roi blanc.

j'écrismais ralentissez de ce que je voulais. Une mauvaise série de pertes familiales dont j'ai du mal à sortir. Ensuite Je reviens pour récupérer les Romains, qui m'ont dit que je leur manquais.

  • AL: Comment pensez-vous que la scène de l'édition est pour autant d'auteurs qu'il y a ou veulent publier?

PN: Très compliqué. Mais pas à cause du nombre d'auteurs, il y en a toujours eu, et j'espère que nous le serons de plus en plus parce que cela signifiera que nos enfants liront. Sans lui, vous ne pouvez pas écrire.

Je vous en dis un expérience personnelle. Comme je vous l'ai déjà dit, la première chose que j'ai écrite a été Les filles de César, Je l'ai envoyé à Prix ​​Planète, sans slogan et sans pseudonyme, et ils me mettent en finale. Parmi plus de cinq cents manuscrits du monde entier. C'est pourquoi je dis que rien n'est impossible personne n'arrête d'essayer de publier. Le talent finit par trouver une porte ou une fenêtre, mais il les trouve.

La chose difficile est dans la situation actuelle. Nous nous remettions de la crise précédente et maintenant de cette folie. Si cela nous concerne tous, les éditeurs souffrent aussi, les libraires, les distributeurs, les imprimeurs ... Toute la chaîne éditoriale et commerciale du livre souffre d'un deuxième crise, est encore plus inattendu et cruel, mais sûr, SÛR, que nous en sortons. Courage.

  • AL: Le moment de crise que nous traversons est-il difficile pour vous ou pourrez-vous garder quelque chose de positif pour les futurs romans?

PN: Oui c'est le cas. Ma famille et mon environnement, j'imagine comment ceux de vous tous, amis et collègues, avez souffert non seulement de la crise économique, mais aussi de la crise sanitaire, avec des personnes malades, et malheureusement, des victimes.

Dans mon cas, Je dois me réfugier dans les histoires que j'avais déjà conçues. Il ne reste que peu de chose du moment actuel que je peux vraiment qualifier de positif, mais oui, le plus important pour moi au niveau littéraire. Cette contact avec les lecteurs C'est la plus belle chose qui m'est arrivée depuis que j'ai publié, et dans ce nouveau monde post-covid, vos messages, votre soutien est plus que jamais apprécié. Merci, et bien sûr, vous pouvez également compter sur moi.

@PabloNunezGlez


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