Itziar Miranda. Actrice et écrivain engagée. Interview.

L'actrice principale d'Amar es para siempre a une facette littéraire.

Photographie : Itziar Miranda. Profil Twitter.

Itziar Miranda est de Saragosse, et l'un des visages les plus connus et les plus populaires de la télévision grâce à Manuela Sanabria, son personnage dans la fiction longue et réussie qui a d'abord été L'amour dans les temps troubles à la télévision espagnole, et maintenant L'amour est pour toujours, sur Antena 3. C'est précisément aujourd'hui que commence la nouvelle saison, la onzième déjà, où Itziar continue dans la peau de Manolita.

Mais peut-être que tout le monde ne sait pas sa facette d'écrivain, puisqu'elle est l'auteur d'ouvrages jeunesse tout aussi réussis comme le collection miranda et de Miranda et Tato, publié par Edelvives. Dans celle-ci interview nous l'avons découvert et Je tiens à vous remercier beaucoup à la fois à Edelvives pour sa gestion et à Itziar pour avoir pris quelques minutes de son emploi du temps chargé pour m'aider.

Itziar Miranda — Entretiensta

  • ACTUALIDAD LITERATURA: Vous associez depuis quelques années votre travail d'actrice à l'écriture et vous avez sorti la collection Miranda et celle de Miranda et Tato, avec des messages de développement durable. D’où est venue l’idée de les créer ? 

ITZIAR MIRANDA : L'idée de la collection Miranda naît de la besoin de rendre aux garçons et aux filles les héroïnes dont ils nous ont privés. Nous nous sommes rendu compte que les femmes pertinentes dans l'histoire étaient complètement réduites au silence et que nous avions besoin qu'elles aient des références féminines. Il était très nécessaire de les secourir. D'une part, pour inspirer les filles dans leur avenir personnel et professionnel et, d'autre part, pour les garçons de voir les femmes dans les lieux d'autorité et de création. C'était tellement bon que nous sommes traduits dans de nombreuses langues et de là vient la nouvelle collection.

Miranda (la protagoniste des deux collections) a grandi, tout comme sa préoccupation et son implication avec le monde et tout ce qui l'entoure. Avec son frère Tato, il va se retrouver dans mille pagailles pour tenter de rendre le monde plus juste. Sans s'en rendre compte, ils se battront pour que les 17 objectifs de développement durable sont atteints de l'agenda 2030.

  • AL : Comment trouvez-vous le temps d'écrire ?

IM : J'écris avant d'aller aux tournages, à propos du 4 ou 5 heures du matin. Et puis je corrige le soir ou entre les séquences.

  • AL : Vous souvenez-vous de vos premières lectures ? Et la première histoire que vous avez écrite ?

IM : J'ai lu pour Roald Dahl, Enid Blyton, Christine Nostler... Je ne me souviens pas de la première histoire parce qu'à la maison on écrivait beaucoup. Notre mère est écrivain et nous l'avons imitée dès le plus jeune âge à inventer nos propres histoires. Mais je me souviens de mon premier livre de poésie publié. C'était dans le 2 BUP grâce à mon professeur de littérature, l'écrivain Phare d'Agustin.

  • AL : Un scénariste en chef ? Vous pouvez en choisir plusieurs et de toutes les époques. 

IM : C'est impossible. Je lis de façon compulsive donc j'en ai des centaines. Mais en ce moment je lis et relis Infini dans un roseau, de ma chère Irène Vallejo.

  • AL: Quel personnage dans un livre aurais-tu aimé rencontrer et créer? 

IM : Quand j'étais plus jeune, je rêvais de jouer en tant qu'actrice Andrea, le protagoniste de Nada de Carmen Laforêt.

  • AL: Y a-t-il des habitudes ou des habitudes particulières en matière d'écriture ou de lecture? 

IM: Silence.

  • AL: Et votre lieu et heure préférés pour le faire? 

IM : A l'aube de mon cuisine.

  • AL: Y a-t-il d'autres genres que vous aimez? 

IM : J'aime moins la science-fiction et l'horreur todo.

  • AL: Que lisez-vous maintenant? Et l'écriture?

IM : Je lis la fête de l'amour, par Charles Baxter. Et écrire... je ne peux rien dire, mais je suis embarqué dans un projet délicieux. Un rêve.

  • AL : Le moment de crise que nous vivons est-il difficile pour vous ou saurez-vous garder quelque chose de positif pour les histoires à venir ?

IM : J'ai vécu des moments de beaucoup d'angoisse avec la pandémie et tout ce qui se passait, mais la collection Miranda y Tato et, surtout, ses collaborateurs, Federico Mayor Zaragoza, Eva Saldaña, de Greenpeace, Marta Cañas, de Médecins Sans Frontières, Père Ángel, Federico Buyolo… Ils ont donné une injection d'optimisme brutal. Je pense que nous apprenons beaucoup. Il y a des années, il était mal vu de dire que la collection Miranda était féministe et maintenant elle est vendue pour cette raison. Et il en va de même pour la durabilité et la protection de la planète. Nous sommes de plus en plus engagés. 


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